Cet article présente une première analyse complète des mesures à long terme des composants des aérosols atmosphériques à partir des instruments de surveillance de la spéciation chimique des aérosols (ACSM) et d'Aethalometer multi-longueurs d'onde (AE33) collectées entre 2015 et 2021 sur 13 sites (sub)urbains dans le cadre du programme français CARA (Caractérisation chimique des particules).
Le LCE est lauréat du 1er appel à projet « Villes durables et bâtiments innovants » du PEPR « Solutions pour la ville durable et le bâtiment innovant » qui vise à « stimuler la recherche scientifique et technique à partir des problèmes multiscalaires et multidimensionnels que rencontre la mise en œuvre des villes et des bâtiments durables ».
Le LCE est lauréat du projet européen CARDIMED (Climate Resilience in the Mediterranean) déposé dans le cadre de l’appel européen HORIZON-MISS-2022-CLIMA-01 (Research and Innovation actions in support of the implementation of the Adaptation to Climate Change Mission) [septembre 2023-août 2028].
Pour mieux comprendre la pollution atmosphérique, des scientifiques du CNRS proposent une approche originale permettant d’identifier et quantifier les particules fines produites in situ dans l’atmosphère par les émissions des véhicules à essence à injection directe. Cette méthodologie, qui permet une première évaluation de l’impact « indirect » de ces véhicules sur la qualité de l’air et la santé, pourrait être étendue à d’autres sources de pollution.
Le GDR Plastiques Environnement Santé prend la suite du GDR Polymères et Océans en élargissant ses thématiques autour des enjeux environnementaux et sanitaires liés aux déchets plastiques. Les rencontres annuelles du GDR sont l’occasion de fédérer la communauté scientifique. Ces cinquièmes rencontres du GDR auront lieu en présentiel à Marseille les 3, 4 et 5 juin 2024.
Cinq thématiques seront abordées :
- Sciences humaines et sociales appliquées à la problématique des déchets plastiques
- Processus de (bio)dégradation des déchets plastiques : mécanismes, produits formés et impacts
Un nouvel article du type « revue » paru dans le journal Nature Water explique comment on peut étudier le devenir des polluants de l’eau à l’aide des isotopes stables. Le LCE a co-signé cette perspective à travers une collaboration avec le groupe d’experts scientifiques « isotopes stables », un groupe de 17 scientifiques européens incluant Patrick Höhener, directeur du plateau technique « Isotopes stables » du LCE.
Consultez ici les offres d'emplois pour personnels permanents et non permanents (contrat doctoraux et post-doctoraux et stages) en cours.
Master 2 : Caractérisation de polluants émergents dans l’atmosphère : les tensioactifs (plus d'info)
Post-doc : Quantification des émissions de COV, SCOV et composés aminés issues d’activités industrielles par PTR-ToF-MS (plus d'info)
Cette étude vise à décrire la phénoménologie de la surface totale déposée dans les poumons (LDSA) en milieu urbain (y compris régions de la tête/gorge (HA), trachéobronchique (TB) et alvéolaire (ALV)) sur la base d'un modèle de dosimétrie de particules à trajets multiples (MPPD) au cours de la période 2017-2019, collecté en milieu urbain (UB, n = 15), de la circulation (TR, n = 6), des sites de surveillance de fond suburbain (SUB, n = 4) et de fond régional (RB, n = 1) en Europe (25) et aux États-Unis (1).