A la une

  1. 22nd International Conference on Flow Injection Analysis and related techniques

    Le LCE organise la 22ème édition de la conférence internationale sur l’analyse en flux et ses techniques associées (22nd International Conference on Flow Injection Analysis and related techniques) du 28 mai au 2 juin 2023 à Marseille (Centre de conférence -Hôtel Mercure Vieux Port).

    Cette conférence sera organisée sous les auspices de la Société française de chimie et de la société japonaise de l’Analyse en Flux (JAFIA)

  2. Offres d'emplois, Offres de stages et propositions de thèses

    Consultez ici les offres d'emplois pour personnels permanents et non permanents (contrat doctoraux et post-doctoraux et stages) en cours :

     

     

  3. 7ISEBE 2023 - Seventh International Symposium on Environmental Biotechnology and Engineering
  4. Harmonisation des sources d'aérosols organiques à l'aide d'ensembles de données de 22 ACSM/AMS

    L'aérosol organique (OA) est un composant clé des particules totales submicroniques (PM1), et une connaissance approfondie des sources d'OA à travers l'Europe est cruciale pour atténuer les niveaux de PM1. L'Europe dispose d'une infrastructure de recherche sur la qualité de l'air bien établie à partir de laquelle des ensembles de données d'un an utilisant 21 moniteurs de spéciation chimique d'aérosols (ACSM) et 1 spectromètre de masse d'aérosols (AMS) ont été recueillis au cours de la période 2013-2019. Il comprend 9 sites non urbains et 13 sites urbains.

  5. Faire la lumière sur les aérosols arctiques en hiver : campagne de mesure en Alaska

    La formation des aérosols secondaires (sulfate, nitrate, organiques) dans les conditions froides et sombres de l’Arctique en hiver et au début du printemps est très mal comprise. Le rôle de la dynamique de la couche limite arctique qui piège les particules près de la surface lorsque les conditions sont stables n'est pas clair non plus. Ces lacunes dans nos connaissances nous empêchent de simuler correctement les aérosols de fond qui forment le « Arctic Haze » ou « brume arctique » et ceux produits par les émissions locales telles que la combustion de bois et de combustibles fossiles.

  6. Du silicone pour sonder la qualité des eaux

    L’activité humaine entraîne le rejet dans les eaux de milliers de micropolluants, classés dangereux pour l’homme et l’environnement. Leur mesure par prélèvement ponctuel ne fournit qu’un cliché instantané de la qualité de l’eau et manque les contaminants à teneurs faibles ou sporadiques. Des chercheurs du Laboratoire de Chimie de l’Environnement ont montré que l’échantillonnage passif sur des feuilles de silicone, déployées dans l’eau pendant quelques semaines, est une alternative novatrice et pertinente pour rechercher les paraffines chlorées, qui regroupent plus de 5 000 molécules réglementées dans les eaux.

  7. Analysis and formation of Disinfection Byproducts in Drinking Water

    Jean-Luc Boudenne (LCE-TRAME) et Tarek Manasfi (EAWAG, Switzerland) sont les éditeurs du livre intitulé "Analysis and formation of Disinfection Byproducts in Drinking Water" qui sera publié en avril 2021 dans la série "Comprehensive Analytical Chemistry Handbook" d'Elsevier.

  8. Campagne de grande envergure autour du port de Marseille

    Un navire d'observation, des drones renifleurs, des laboratoires mobiles, des microcapteurs : une campagne d'observations intensive se déroule autour du port de Marseille pour mieux connaître la contribution des navires à la pollution de l'air.

    Dans le cadre du projet européen SCIPPER, une campagne de mesures se déroule du 6 au 9 juillet à bord d'un bateau situé autour du port de Marseille. L'objectif ? Comparer les émissions des oxydes de soufre et d'autres polluants avec la campagne de mesures qui a été réalisée en 2019, avant la mise en place de la nouvelle réglementation.

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